+ give your heart a break
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

 

 + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too.

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Nebula Selkis
~ tears and pain, but I feel celestial.
Nebula Selkis


- post : 76
- inscription : 29/09/2012
- pseudo : endlessbird. (malika)
- avatar : crystal reed.
- crédits : angel dust.

CELLPHONE REPERTORY
contact/list:

+ and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. Empty
MessageSujet: + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too.   + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. EmptySam 29 Sep - 17:11

by dimkabelikov @tumblr.
bliss, kershaw
24 Y.O. ⎬ CÉLIBATAIRE




{ private interview }
Dans cette deuxième section, votre tâche est en quelque sorte plus simple. Il vous suffira de répondre à diverses questions, principalement sur l'amour, en fournissant des réponses aussi détaillées que possible. Un minimum de cinq lignes par question est exigé, mais nous vous encourageons à faire bien plus !

répondre ici.
répondre ici.
répondre ici.
répondre ici.
répondre ici.
{ bandaged heart }
prénom/pseudo: répondre ici. › âge/sexe: répondre ici. › fréquence de connexion: répondre ici. › où avez vous connu gyhab: répondre ici. › cassdédi: répondre ici.


Dernière édition par Nebula Selkis le Jeu 1 Nov - 13:05, édité 9 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nebula Selkis
~ tears and pain, but I feel celestial.
Nebula Selkis


- post : 76
- inscription : 29/09/2012
- pseudo : endlessbird. (malika)
- avatar : crystal reed.
- crédits : angel dust.

CELLPHONE REPERTORY
contact/list:

+ and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. Empty
MessageSujet: Re: + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too.   + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. EmptySam 29 Sep - 17:11



{ autobiography }

∞ novembre 1988
(maman, papa)


∞ mai 1994
(scooter)


∞ novembre 1997
Maman m’a fait mettre ma plus jolie robe, blanche avec des petites dentelles, elle m’a dit que j’aurais bientôt mes cadeaux, j’aurais préféré les avoir ce matin, elle me fait poiroter, j’aime pas trop ça, je veux juste une chose, jouer avec mes barbies qui sentent le neuf, les dernières sorties, demain tout le monde me jalousera à l’école quand ils verront les petites perles que j’aurais reçues. « Tu peux venir ma chérie » c’est pas trop tôt. J’espère qu’on va au parc, sinon je vais vraiment passer un anniversaire de merde. Nous nous arrêtons, devant ce bâtiment terriblement laid dénommé église. Des tas d’étrangers me font des signes de la main, qui sont ces abrutis totalement gagas ? Je me le demande bien. « A vous l’honneur mademoiselle. » Papa me fait une révérence ridicule, me montrant l’édifice grisâtre du doigt. Putain d’enculé de tes morts. Sérieusement ? C’est ça ma surprise ? Un accès VIP dans ce machin tout moche ? Laissez-moi rire. Si je suis sage, peut-être que j’aurais mes vrais cadeaux, j’avance donc vers l’intérieur glauque de la construction, la lumière passe difficilement par les vitraux colorés. « Comment vas-tu ma petite ? Ne boude pas, tu seras bientôt bénite. » je fais la moue. Attendez, me bénir ? J'avais juste demandé des poupées blondes avec la taille de nichons réglable, pas question, je suis pas une moutonne, loin de là. C’est pas parce qu’on m’arrose de l’eau dans lequel un prêtre a dégueulé que j’serais différente. Vous croyez que Dieu porte une importance à chacun d’entre vous, mais en réalité, il vous pisse tous à la gueule.


∞ mars 2005
(scooter)


∞ janvier 2009
Je savais que j’aurais pas du mettre une robe rouge à des funérailles, je fais tâche maintenant, c’est vrai que se ramener en rouge à l’enterrement d’un mec retrouvé découpé en morceaux, c’est pas non-plus le meilleur moyen pour rester discrète, au moins je fais moins peur que Scooter dans son costume monotone et ses cernes creusées jusqu’au menton. Je vous dis pas la gueule qu’il a tiré quand j’me suis ramenée dans sa voiture en mini-jupe ras-la-moule, c’était le seul truc noir que j’avais trouvé, du coup j’ai pris ça. J’suis jamais allée à ce genre de fête, j’aime pas perdre mon temps pour des gens qui savent même pas qu’on est là, mais j’l’ai fais pour Scoot, parce que j’ai quand même de la compassion pour lui. Des inconnus viennent lui présenter leurs condoléances, je me casse un peu plus loin, mon paquet de Marlboro me sauve la vie. J’écrase ma clope à l’aide de mon talon, consumée jusqu’au bout, il est déjà monté sur l’estrade, je m’approche un peu, juste pour avoir la capacité de l’entendre. « … Je me souviendrais toujours du conseil qu’il me donnait lorsque nous partions en bord de mer, il me disait de faire mes châteaux de sable assez éloigné de l’eau, pour ne pas que les vagues l’emporte. » Il m’avait dicté cette anecdote mainte fois. Il éclate en sanglot, je bouscule la foule pour le rejoindre. Je lui fais signe de redescendre, il obéit. Je le prends dans mon étreinte et lui susurre des mots à l’oreille. « Ça va aller, je te le promets. » je garde un ton rassurant, juste histoire de la calmer.


∞ octobre 2010
(maman)


∞ janvier 2012
Enroulée sous trois couches épaisses de couverture, mes yeux demeurent grands ouverts, ancrés dans une pénombre inquiétante. Depuis la mort du père de Scoot, je n’ose plus affronter l’obscurité totale. Trois ans, demain, trois ans depuis que son corps a été retrouvé inerte, dans un lit double à moitié vide. Le pauvre, il avait plus personne à baiser, vue sa petite gueule d’intello, la longue absence de sa femme a pas trop du lui manquer. La catin, elle est partie sauter des gosses, ils avaient pas la vingtaine, à se demander si elle les a pas dépucelés, pendant que son cher mari se faisait dépecer, parce que c’était vraiment pas beau à voir. Mais le pauvre, je le soutiens, j’aimerais pas retrouver ma mère en steak haché dans une si belle literie, un matelas comme il en possédait était réservé aux personnes ayant assez de peau au cul pour s’en procurer. Un seul songe pour cette femme qu’ils ont libéré il y a peu me plonge dans une angoisse profonde, et si c’était vraiment elle ? Et si le tueur se promène encore tranquillement dans la rue, sachant qu’on ne le retrouvera jamais ? Je suis sortie de mes pensées moroses par la vibration de mon téléphone portable. Je tâte ma table de chevet, là. Je l’allume difficilement. « 1 nouveau message de : numéro masqué. » c’est sûrement une connerie qui m’apprends que j’ai gagné un million d’euros, vraiment, les gens manquent d’humour aujourd’hui, j’ai connu des blagues bien plus drôles. Pourtant, mon instinct entraîne mon doigt à appuyer sur le bouton « lire » il ne me faut lire uniquement deux mots pour me rendre compte que ce n’est pas une mauvaise plaisanterie. « Place centrale, si tu n’y es pas dans une heure, il y passe aussi. » Scoot, c’est lui le il , c’est la seule personne sur cette planète dont la sécurité m’importe. Chaussures enfilées, veste sur le dos, je descends les escaliers à pas de loup, mais le parquet craque sous la charge de mes pieds. Je sors, prenant soin de ne réveiller personne. Le lieu de rendez-vous se trouve à deux pâtés de maisons. Minuit moins dix. Je suis seule, le quartier est plongé dans la tourmente, non, en réalité, c’est moi, pas le quartier, il fait sombre et je flippe. Le tintement des cloches m’arrache les tympans, je sursaute, mais je n’ai pas le temps d’avoir peur, une main chaud me recouvre la bouche, pas une main, non, un gant noir, plus noir que le ciel comme je le vois actuellement. « Fais pas ta fillette, tu vas juste fermer ta gueule pendant dix minutes. » C’est une voix féminine qui garde un coté rassurant. J’acquiesce d’un mouvement de tête. Elle me dépose sur la banquette arrière d’une vieille voiture, je découvre une magnifique chevelure blonde. Je ne bougerais pas, elle conçoit sûrement que sa menace était assez grande pour que je reste prostrée ici. Elle gare sa caisse délabrée dans une rue sombre et m’ordonne de sortir, je n’ai pas le temps de trouver mon équilibre que j’me retrouve plaquée au mur. C’est elle. Elle était partout, dans les journaux, à la télévision, ancrée dans ma tête, mais surement encore plus dans celle de Scooter. Elle semble beaucoup plus en forme que sur cette photo d’elle portant une lourde paire de menottes, je me souviens encore des gros titres, on la nome Bones Williams il me semble. Un sourire mesquin se calque sur son visage aux traits si bien dessinés. Sa main effleure mes longs cheveux d’or, elle entortille une mèche autour de son index. « T'as l’air plutôt habile ma jolie, tu as déjà fais joujou avec ça ? » après avoir reluqué chaque infime détail de mon physique, elle sort de son sac une arme à feu. Le souffle court, je ravale difficilement ma salive. « Pas … pas vraiment. » Bones me plaque l’épaule contre le mur. « Pas vraiment, ou pas du tout ? T’as pas l’air sûr. » elle prend un air autoritaire carrément effrayant, même Ben Laden serait parti en courant. En parlant de ça, c’est le onze septembre dans ma tête, la première des tours jumelles se fait heurter pas un des avions d’al-qaida « Pas du tout. » elle s’écarte, j’étouffe un soupire de soulage. « Bien, tu vas devoir apprendre alors. »


∞ février 2012
Tu sembles inquiet, tu m’assures le contraire, mais tes yeux te trahissent, tu n’es pas serein, loin de là. Je lis dans ton regard une anxiété aiguisée. A en croire que je te connais presque trop, presque plus que tu ne te connais toi-même, comme si tu ne pourrais jamais rien me cacher. « Tu es distante » et ces deux mots, que tu n’oublies en aucun cas d’ajouter dans un froid « avec moi. » je te réponds un silence, je te parle avec les yeux, tu me connais encore plus que je ne te connais, c’est frappant, tu es le maître de mon esprit, l'unique clef à mon âme. Tu sais que je n’ai jamais voulu de ça, que je ne peux pas échapper à ça, à ce ravin qui se creuse peu à peu entre nous, à la distance qui nous ronge, mais tu ne sauras jamais pourquoi.


∞ juin 2012
(scooter)


∞ septembre 2012
L’énorme point noir au milieu de la cible est marqué d’un énorme trou. « Pile entre les deux yeux, tu apprends vite. » Vite ? Ça fait neuf moi qu’elle me séquestre quatre heures par jour pour apprendre à manipuler sa merveilleuse collection d’arme à feu. Je ne sais pas comment elle arrive à la distinguer les uns des autres. Certains sont de plus gros calibres que le reste, mais sinon, je n’y comprends pas grand-chose. « J’en conclus que tu es prête. » je lève les yeux vers elle. « Sûrement, oui. » Elle se dirige vers une autre pièce de son studio. Un grand matelas est étendu au milieu, dessus sont disposées une robe, un sac à main et une paire d’escarpins. Ils ont l’air d’être à ma taille. « C'est magnifique. » je reste émoustillée devant le choix de Bones. « Tu devrais les essayer. » elle dirige son doigt vers une petite porte. « Salle de bain. » je tourne les talons. Mes doigts glissent sur la poignée métallique, la porte s’ouvre d’un grincement sourd. Je retire tous mes vêtements, mais une voix carillonne dans mes tympans, « J’avais oublié, prends ça aussi, ça te sera utile. » Elle entrouvre la porte et dépose un magnifique ensemble de lingerie bordeaux, je suis tout d’abord émerveillée, mais perplexe par la suite, pourquoi aurais-je besoin de ça ? Je me dénude tout de même et enfile le magnifique ensemble procuré par Bones. La robe, Gucci, est l’une des plus gracieuse que je n’ai jamais vue, simplement noire, me descendant jusqu’au dessus des genoux, moulant parfaitement mon corps, que j’entretiens alors si souvent depuis que j’ai rencontré la blonde qui se tient devant moi. Les chaussures, quant à elle, sont des Christian Louboutin, le genre de chose dont on rêve depuis ses quatorze ans. « Sublime, tu es sublime. » Elle m’effleura la nuque de son index, descendant jusqu’à la fermeture, elle la remonte légèrement puis reviens face à moi et affiche une moue boudeuse. Le souci ? Je l’ignore, mais elle part chercher quelque chose dans une trousse. En revenant, je la vois faire sortir le bâton de rouge à lèvre de son étui. Elle délicatement soulève mon menton, puis me l’applique à l’aide ses doigts de fée. « Là, c’est parfait. » Une expression satisfaite se peint sur son visage d’un habituel froid. « Bon, ça risque d’être dangereux, mais tu peux t’en sortir. Ce soir aura lieu une réception chez le juge qui m’a envoyée en taule, tu vas draguer le réceptionniste et il te laissera entrer, il sera facilement amadoué, puis tu mettras en face de cet homme. » Elle me donne une photographie d’un homme qui a plus ou moins la cinquantaine, aux allures bourgeoises, le genre d’homme égocentrique qui n’en a que pour son argent. « Tu lui fais du pied à table, il finira par te proposer un séjour dans l’une des chambre d’amis, tu le suis. A minuit pétante, tu lui dis que tu as besoin de te remaquiller, tu entres dans sa salle de bain et tu fermes à clefs, puis tu passes par la grille d’aération qui se trouve au plafond, tu peux passer normalement. Une fois arrivée à la troisième grille, tu seras au-dessus de la chambre de Lerman, ta cible, tu fais attention à ce qu’il soit bien seul puis tu lui tires dessus, ensuite tu retournes en arrière, retouche ton maquillage afin qu’on ne se doute de rien. Puis tu vas chercher deux coupes de champagne et mets un somnifère dans l’un des deux verres que tu donneras au mec qui croyait que tu passerais la nuit avec lui. » J’arriverais à ma souvenir facilement de tête, j’hoche la tête pour lui montrer que j’ai compris. Elle me tend ma pochette, assortie à ma tenue « Il y a un gun, des somnifères et un rouge à lèvre dedans, ça te suffira. » Je l’attrape, sans rien dire, je m’apprête à passer la porte lorsqu’elle rapplique à nouveau. « Lorsque tu seras sortie, reviens ici, je veux m’assurer que tout aille bien pour toi … Fais attention à toi Bliss » « Ne t’… » Elle me coupe la parole, ainsi que le souffle, ses lèvres arôme cerise viennent rejoindre les miennes. Je ne la repousse pas, pour l’unique raison que j’aime ça. « Ne t’inquiètes pas. » Je sors précipitamment de son studio, j’ignore pourquoi elle a fait ça, mais j’en voudrais encore, et encore.


Dernière édition par Bliss Kershaw le Dim 7 Oct - 11:23, édité 18 fois
Revenir en haut Aller en bas
Ayana Van Draper

Ayana Van Draper


- post : 96
- inscription : 29/09/2012
- pseudo : winding.road (Kitty)
- avatar : Mona Johannesson
- crédits : cyrine

+ and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. Empty
MessageSujet: Re: + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too.   + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. EmptySam 29 Sep - 17:15

sex
Revenir en haut Aller en bas
Nebula Selkis
~ tears and pain, but I feel celestial.
Nebula Selkis


- post : 76
- inscription : 29/09/2012
- pseudo : endlessbird. (malika)
- avatar : crystal reed.
- crédits : angel dust.

CELLPHONE REPERTORY
contact/list:

+ and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. Empty
MessageSujet: Re: + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too.   + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. EmptySam 29 Sep - 17:17

sex sex
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





+ and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. Empty
MessageSujet: Re: + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too.   + and if bridges gotta fall, then you'll fall, too. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
+ and if bridges gotta fall, then you'll fall, too.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
+ give your heart a break :: 3) FAISONS CONNAISSANCES :: présentation :: validé-
Sauter vers: